L'entrevue

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il y a 5 ans

Aurélie est nerveuse, c'est évident. Difficile de la blâmer, après un nombre vraiment décourageant de refus, c'est la première fois qu'elle obtient une entrevue réelle, en personne. "Pour un travail?" Me demanderez-vous? Pas tout à fait... enfin, oui, peut-être. Tout dépend de votre définition du mot travail.

Cela fait maintenant un an que nous sommes ensemble, Aurélie et moi. Elle a vendu son appart et est emménagée chez moi il y a dix mois déjà. Elle semble vraiment bien heureuse de ce dénouement et pour moi, c'est carrément le rêve devenu réalité. Aussi tordu que ça puisse sembler, je suis tombé ridiculement amoureux de cette fille la première fois que je l'ai vue, même si c'est au moment où elle se faisait... enfin, je vais laisser Aurélie raconter cette partie puisque c'est pertinent à l'entrevue qu'elle s'apprête à passer.

On peut donc dire que c'est un emploi dans le sens le plus pratique du terme puisqu'il indique un salaire, même si cet emploi risque fort de s'avérer occasionnel. Ma jolie, ma belle, ma douce, ma délicieuse Aurélie essaie de se tailler une place dans le porno et je suis 100% derrière elle. Une entrevue pour ça? N'est-ce pas un jeu d'e n f a n t de se mettre à poil et de se faire baiser par le premier venu devant une webcam? Ce n'est pas ce qu'elle cherche (heureusement!). Aurélie cherche le beau, le sophistiqué voire, le classique. Ce qu'elle veut c'est vivre l'expérience complète, les sensations fortes. La sensation de se faire désirer et de se produire nue devant la caméra est la principale raison certes, mais elle veut également travailler avec des acteurs compétents et responsables. Elle veut être entourée de gens qui savent ce qu'ils font. Elle veut s'amuser et ne pas se sentir comme un corps nu anonyme sur internet

Le truc c'est que l'industrie des films porno est en déclin, elle est mangée toute crue par les site web qui chargent une somme mensuelle dérisoire pour donner accès à une panoplie de petits vidéos amateurs. Les vrais studios de porno "pros" se font rares et ils ne prennent plus n'importe qui. Pas que je dise qu'Aurélie soit n'importe qui, bien au contraire, c'est de loin la femme la plus belle et la plus excitante qu'il m'ait été donné de voir. Ce qui nuit à son projet, c'est que l'industrie porno cherche des filles de 18 ans, des nymphettes rasées et puériles avec des seins refaits. Aurélie est tout sauf ça. C'est une femme à part entière, dans le début de la trentaine. Son corps est plein de jolies courbes et elle est entièrement naturelle, elle ne teint pas ses cheveux, elle n'a pas de tatouage et elle ne se rase pas le sexe. De plus, Aurélie insiste sur une de ses préférences qui nuit à sa démarche même si c'est quelque chose qui personnellement, me plait puisque ça m'a toujours allumé: Elle ne porte que des vêtements de velours. On ne parle pas ici que de ses tenues de sortie mais également de ses vêtements pour dormir, pour travailler, pour relaxer et même de la lingerie qu'elle porte lors de nos ébats sexuels quotidiens, on parle même de ses sous-vêtements. Aurélie ne porte que du velours, point final. C'est la seule chose qu'elle trouve confortable. C'est somptueux, c'est doux, c'est tout comme elle et pour être honnête, ça lui va toujours à merveille. Comme je disais, ses caprices vestimentaires nuisent à son processus "d'emploi". Aurélie ne portera jamais de latex, pas de g-string, pas de dentelle. Imaginez quelqu'un qui applique pour être critique culinaire mais qui refuse de manger autre chose que du chocolat.

C'est pour cette raison qu'on est ici aujourd'hui; le studio qui nous reçoit est modeste mais respectable, bien connu et surtout bien apprécié par les adeptes de son genre. Nous sommes chez les fétichistes. Les lieux sont propres et bien rangés. C'est bien éclairé, ça sent frais, j'aime bien cet endroit. Sur les murs du salon dans lequel nous attendons, je vois des photos de filles en costume de dominatrice, des fourrures, des infirmières et des policières, un peu de tout mais pas de velours. Est-ce vraiment un fétiche?

Comme je disais, Aurélie est nerveuse. Elle est assise, collée contre moi, ses mains sur ses cuisses; elle observe également les photos qui décorent la pièce. Je constate qu'elle porte beaucoup d'attention aux photos montrant des femmes partiellement ou totalement dénudées. J'imagine qu'elle se met à leur place et qu'elle sait que si elle s'engage dans cette voie, elle aussi aura à se retrouver nue devant un tas de gens. L'idée m'excite énormément mais je n'en dit mot pour le moment; inutile de la stresser d'avantage.

Aujourd'hui, Aurélie s'est habillée simplement. Un pantalon de velours extensible gris foncé scintillant qui donne des reflets verdâtres quand il attr a p e la lumière ambiante. La taille est relativement basse et il est très moulant aux fesses, quoi que plutôt ample en bas des cuisses, tout droit sorti de l'époque disco. Elle l'accompagne d'une sorte de veste d'un velours plus classique d'un vert mat portant sur le kaki. C'est une veste à manches longues mais sans boutons, elle est passée par dessus sa poitrine de chaque coté et est attachée serrée dans le dos par un cordon qui passe au dessous de ses seins; le décolleté est donc très, très plongeant. Le bas de son ventre et son joli petit nombril sont dénudés. Quant à ses sous-vêtements, je ne saurais dire, je ne l'ai pas vue s'habiller ce matin mais pour une occasion aussi spéciale, j'imagine que c'est original.

Je suis ramené à la réalité quand elle pose une de ses mains sur mes cuisses et me sourit tendrement, ses petits yeux curieux sont pleins d'amour. C'est une tendre dualité, je l'aime de tout mon coeur, cette femme formidablement belle mais j'ai tellement hâte de la voir nue devant la caméra, de la voir en train de se faire baiser pour le plaisir du public pervers à qui son travail est destiné. Le voyeur amoureux et la nymphe de velours. Quel couple on fait!

La porte du fond de la pièce s'ouvre et deux hommes entrent dans la pièce. Le premier à entrer est facilement dans la quarantaine, un peu mou, un peu bedonnant mais son visage est très sympa et il sourit amicalement. Je remarque son t-shirt de Star-Wars et je me dis qu'on va surement bien s'entendre. Le garçon qui le suit ne doit même pas avoir trente ans, bien habillé, il fait un peu plus de six pieds et est bâti comme un joueur de hockey. Il parait vraiment bien, belle geule, beau gosse.

Le mec au chandail de Star-Wars s'assoit sur une chaise face à nous et ouvre immédiatement le dialogue. "Bonjour à vous deux, moi c'est Étienne, je suis le fondateur et directeur de ce studio. Voici mon grand ami Matteo, il m'assiste dans tous les aspects techniques et joue dans quelques uns de nos films."

Aurélie regarde le beau colosse et je vois que sa nervosité monte d'un cran. Matteo sourit et nous salue de la tête mais reste tout de même silencieux. Étienne poursuit. "Enchanté de faire ta connaissance Aurélie. Tes photos ne te font pas justice, tu es beaucoup plus belle en personne!"

Aurélie rougit un peu et le remercie timidement.

"Et vous monsieur" me lance Étienne, "puisque nous ne cherchons présentement pas d'acteurs mâles, j'imagine que vous êtes ici à titre d'accompagnateur?"

"C'est mon copain!" annonce immédiatement Aurélie. "C'est lui qui m'encourage dans mon projet!" Elle prend ma main dans la sienne et la sert très fort.

Étienne me regarde d'un air approbateur. "C'est vraiment bon ça! La plupart des candidates que j'ai connu avaient un copain mais de le voir ainsi impliqué, c'est rare, c'est d'une belle ouverture d'esprit! Pas de jalousie?"

Je passe ma main autour de la taille d'Aurélie et je la pose sur sa le bas de sa hanche, le contact du velours m'excite. "Aucune. Je l'aime beaucoup et notre couple est solide. Je n'ai pas peur de la partager puisque c'est une femme extraordinaire et je sais que le soir venu, elle sera de nouveau avec moi." J'ai droit à un autre beau sourire; je fonds. Elle s'approche doucement et dépose un baiser rapide sur mes lèvres, son haleine goute la menthe fraiche et ses lèvres sont aussi douces et chaudes qu'à l'habitude.

"Excellent." Déclare Étienne pendant qu'il l'observe méticuleusement de la tête aux pieds. Il lui explique rapidement ce que fait le studio, ce qu'est le fétichisme; c'est à dire l'art concentrer l'acte sexuel sur un concept qui nous excite particulièrement. Dans le cas d'Aurélie, le velours. "J'avoue que même si la lingerie de velours existe, c'est un fétiche plutôt rare et je ne pense pas qu'on puisse dépendre uniquement de celui-ci. Ça te va rudement bien remarque, c'est très plaisant à regarder et ça t'aide définitivement à dégager un certain magnétisme sexuel mais je me demande si c'est assez."

Je sens Aurélie se raidir Un autre refus? Ça semblait si bien parti pourtant...

J'essaie d'aider du mieux que je peux. "Ça veut dire quoi 'Un certain magnétisme sexuel'?"

Étienne me donne un sourire en coin. "C'est la base de tout porno qui veut du succès, mon cher. Ça veut dire que quand je regarde ta belle copine habillée en velours moulant, j'ai le gout de la baiser."

Aurélie rit nerveusement et je me sens un peu con. Je grogne une approbation et je retourne au silence.

"Remarquez," poursuit Etienne, "Aurélie est une très belle femme et puisque le velours traduit une grande douceur et un certain confort luxueux, je pense qu'on pourrait attaquer un autre angle sans toutefois laisser tomber ses gouts vestimentaires. Imaginez cela, la jolie brunette dans le début de sa trentaine. Elle est très féminine, très douce, très soumise. Elle cherche à découvrir son corps et s'amuser avec sa sexualité, une véritable aventure quoi. Je ne pense pas avoir de difficulté à trouver de bons scénarios ou des acteurs intéressés. C'est facile à imaginer, quand même, baiser Aurélie, c'est doux, c'est excitant, ça fait du bien. C'est comme une récompense, un peu comme prendre un dessert sucré après un bon repas."

J'avoue que c'est pas mal comme vision. C'est très proche de ma réalité. Chaque fois que je fais l'amour avec Aurélie, c'est exactement comme il vient de dire.

Je pense qu'elle est d'accord. Du moins, ça doit lui faire plaisir d'entendre parler d'elle avec autant d'enthousiasme et de révérence. Rougie par un embarras évident, elle regarde Étienne et je vois dans ses yeux qu'elle prend doucement conscience de ses paroles. Je peux également voir que ma copine est enfin un peu plus sûre d'elle même. Quand Étienne lui demande de se lever, elle le fait sans hésiter et marche quelques pas en avant. Elle a vraiment bien choisi son pantalon, son derrière rond et rebondi est merveilleusement cajolé par les tissus moulant. Ses très longs cheveux châtains-brun tombent juste en bas de la ligne que trace sa veste. Ils semblent un peu plus long qu'a l'habituel et c'est à ce moment que je remarque qu'elle les a étirés ce matin. Ils ne sont pas complètement droits mais contrairement à ses somptueuses boucles habituelles, ses cheveux forment une seule vague paresseuse qui descend le long de son dos. Elle a également remonté son toupet et l'a attaché derrière sa tête pour ne pas l'avoir dans les yeux. Le tout lui donne un air gamine absolument bandant, surtout si on considère son petit cul délicieusement provocateur. Une idée me passe par la tête, motivée par le désir soudain que j'éprouve pour la femme que j'aime, comme si c'était de nouveau la première fois que je la voyais. Et si je la foutais à poil devant ces deux hommes? Et si je leur donnais une démo de comment on baise convenablement Aurélie? Ce n'est pas l'envie qui me manque. Je me demande comment elle réagirait?

Je m'apprête à me lever pour la rejoindre quand Étienne me précède en s'extirpant de sa chaise et se place devant elle. Pendant un moment, je fige en pensant qu'il a eu la même idée que moi. J'avale difficilement en me préparant à le voir lui arracher ses vêtements, je me demande comment je vais réagir quand il va lui sauter dessus, quand il s'emparera de son corps, quand il s'appropriera sa chatte. Rien de cela ne se produit, ses intentions sont finalement moins ambitieuses que ce que je redoutais. Dois-je dire "hélas" ou "heureusement", je n'en suis même pas certain!

Ainsi débute l'inspection "manuelle", à défaut d'avoir un meilleur terme, l'employeur potentiel veut évaluer les atouts de sa candidate. Je dois avouer que juste pour cette partie là, je me plairais bien à faire son job.

Il touche d'abord son visage, il inspecte ses traits. Aurélie à un joli visage plutôt petit et rond, ses yeux sont doux et son sourire est attachant mais c'est une femme dont le visage ne brille d'aucun trait extraordinaire. C'est étrangement ce qui fait son charme: elle n'est pas intimidante, elle est naturelle, avenante et simplement belle, sans artifice. Étienne caresse ensuite ses long cheveux bruns, il en inspecte les mèches, l'épaisseur, la façon dont ils retombent quand on les bouge. En commençant par lui toucher les épaules, ses mains descendent rapidement vers la poitrine d'Aurélie et après avoir méticuleusement évalué la forme de ses seins en les tripotant de tous cotés, il lui pince fermement le bout des mamelons pour voir sa réaction. Le contact intime si soudain d'un étranger la surprend; elle serre les lèvres et sourcille un peu mais reste calme, elle offre toujours ce petit sourire timide qui me transforme en animal. Ses mamelons durcissent et pointent au travers le velours, elle ne porte pas de brassière, la garce.

Étienne sourit narquoisement et pendant quelques secondes, continue d'agacer les mamelons d'Aurélie pendant qu'elle se dandine légèrement les fesses par gêne ou simple nervosité. Les mains d'Étienne descendent et parcourent la gracieuse silhouette d'Aurélie, il caresse ses hanches, son ventre et dirige enfin ses mains vers le cul de ma copine. Il s'attarde longtemps sur son joli derrière. Il lui tripote les fesses, il les soulève, les écarte au travers le pantalon. Il pose son majeur sous l'os de son bassin et descend doucement en suivant la ligne entre ses deux fesses en prenant soin d'appuyer fermement, comme si il cherchait une faille quelque part passant au travers la douce barrière de velours pour pouvoir profondément insérer son doigt dans le cul sur lequel il attarde son inspection. Abandonnant cette idée futile, il applique de nouveau ses deux mains aux fesses de ma copine, les flatte un peu, il les tapote doucement bref, il lui étudie méticuleusement le cul. Je peux difficilement le blâmer, ça fait un an que je fais la même chose et j'en apprends encore tous les jours. Inutile de le spécifier mais j'insiste, Aurélie à vraiment un cul bandant.

Abandonnant enfin le divin postérieur de la demoiselle, la main gauche d'Étienne se pose fermement sur la hanche d'Aurélie pendant que sa main droite parcourt le velours jusqu'au devant de son entrejambe et s'attarde longuement à lui frotter la chatte par dessus son pantalon. Aurélie cherche mon regard, toujours un peu mal à l'aise. À mesure que cet étranger s'affaire à explorer son sexe, même si c'est fait à l'extérieur des vêtements, ses yeux doux trahissent un doute qui décuple l'érotisme de la scène. Elle voit que je ne suis pas du tout dérangé par les gestes d'Étienne et ça semble la rassurer. En fait, c'est tout le contraire. Je ne pensais pas que ça me ferait un tel effet mais de voir un autre homme caresser les centres de plaisir de la femme que j'aime, même habillée, me rend délirant de désir pour elle.

Étienne lui parle enfin et sa phrase capte vite mon intérêt.

"Aurélie ma belle chérie, baisses ton pantalon s'il te plait."

Ses mots sont polis mais fermes. Oh oui. Oh oui, ma belle Aurélie, baisses ton pantalon. S'il te plait. Ensuite quand Étienne te le demandera, tu enlèveras ta veste et ensuite ta culotte. Permets-nous de baigner dans la gloire de ton corps nu! Ma copine va se mettre à poil devant deux étrangers et ça me rend fébrile sans bon sens.

"Pardon?" Demande Aurélie, surprise, ses yeux soudainement rivés sur lui.

L'homme la regarde comme si elle venait de lui annoncer qu'elle ne savait pas que l'eau était mouillée. "Tu veux faire de la porno, ma belle. Tu ne vas certainement pas me dire que tu es gênée de nous montrer ce que tu portes sous ton pantalon." Répond calmement Étienne, tout sourire. Je pense qu'il a compris quelque chose qui m'échappe toujours parce qu'il semble lire la gêne d'Aurélie et visiblement, il s'en amuse. Belle Aurélie, c'est de loin ton arme la plus efficace, la plus redoutable, cet air timide qui donne à n'importe quel pervers qui se respecte l'envie irrésistible de te défoncer la chatte. J'adore ce qui est en train de se passer. Malgré la gêne soudaine d'Aurélie, il la f o r c e à se dévêtir d'elle même.

Ma délicieuse copine lui offre un petit sourire hésitant et s'exécute. Jusque là, ses bras s'étaient contentés de pendre avec nonchalance de chaque coté de son corps pendant qu'elle se faisait tripoter partout ailleurs. Trouvant enfin une utilité à ses mains, elle les porte à la bordure de son doux pantalon et commence à pousser vers le bas. Elle balance ses hanches de chaque coté, tout doucement alors qu'elle descend son vêtement vraiment, vraiment lentement. J'ai beau l'avoir vue en sous-vêtements des centaines de fois, l'idée de ce qu'elle s'apprête à faire devant ces deux étranger me rend fou de désir, je sens que je vais exploser.

Puis tout comme elle a commencé, elle arrête.

"Je ne suis pas capable, c'est trop tôt. J'ai hâte de faire des films mais là j'hésite, je sais pas pourquoi." Répond-elle. Sa voix est un peu chevrotante et je sens qu'elle est sur le point de craquer. Le stress et l'angoisse doivent être à leur comble, ma pauvre chérie...

"Si tu veux faire de la porno et surtout du fétichisme, il va falloir que tu te dégênes ma belle!" Explique Étienne. Il continue à lui demander respectueusement si elle est vraiment prête à tout ce que ça implique et Aurélie l'assure que oui, c'est ce qu'elle veut, vraiment. Je n'écoute pas tellement leur échange, mon attention est plutôt sur Matteo qui s'approche tranquillement de la scène.

Étienne hoche la tête et semble satisfait des réponses. Elle lui sourit, convaincue qu'elle a trouvé les mots qu'il voulait entendre mais semble soulagée de ne pas avoir à faire ce qu'il vient de lui demander. Enfin, pas tout de suite. Je ne pense pas qu'ultimement elle refusera de se mettre à poil, elle sait très bien que c'est nécessaire à ce qu'elle veut faire mais je pense qu'elle n'est juste pas tout à fait prête.

Je demeure silencieux mais surtout curieux. Étienne donne un signe de tête en direction de Matteo qui, sans hésiter attr a p e le doux vêtement d'Aurélie et tire vers le bas d'un coup sec. Les pantalons soudainement baissés au niveau des genoux, ma jolie copine pousse un cri de surprise! Je comprends enfin ce qui la faisait hésiter: elle avait choisi de ne pas porter de petite culotte aujourd'hui. Après tout ce tripotage, Étienne devait s'en douter.

Quelle délicieuse erreur... Et hop! La jolie chatte d'Aurélie offerte aux yeux de tous.

Pour moi, l'effet est instantané, c'est comme un coup de poing au foie. De voir son pantalon moulant si brusquement retiré pour laisser place à son superbe sexe nu. D'attarder mon regard sur le contraste entre sa peau pâle et sa touffe fournie du même châtain riche que ses beaux cheveux, c'est trop pour moi. Peu importe si c'est ma copine et peu importe si je vois sa chatte chaque jour, l'idée de la partager ainsi me rend dingue. Je me gonfle de fierté; qu'elle est belle ma copine!

Étienne semble partager mon enthousiasme. Pendant quelques secondes, il a les yeux rivés sur le sexe d'Aurélie et semble chercher ses mots. Matteo s'est positionné à coté d'eux et son sourire traduit également le plaisir que cette vue lui procure.

"Regardes moi ça Téo" commence Étienne, "une vraie naturelle comme on n'en voit plus souvent. Quelle beauté! Ça doit vraiment être bon, mettre sa queue là dedans."

Je confirme que c'est mieux que bon, c'est divin. C'est un peu étrange de l'entendre ainsi parler de la chatte de ma copine comme si c'était un être à part. Il s'apprête à commenter d'avantage quand Aurélie se met à pleurer.

Il faut relativiser, elle n'est certes pas en crise hystérique mais ses yeux sont quand même perlés de larmes et elle s a n g lote un peu.

"Eh m e r d e ." Débute Matteo. "Écoute, je pensais pas que tu le prendrais si mal, je m'excuse, vraiment."

Matteo cherche déjà à l'aider à remonter son pantalon. Je me lève, prêt à me diriger vers elle, pour quitter l'entrevue. Je me sens comme le dernier des salopards de laisser faire ça à la femme que j'aime. Fini la porno, on dirait bien.

Aurélie pose une main sur le bras de Matteo et l'arrête. Elle me regarde et secoue la tête. "Non, non, c'est bon, j'ai juste mal réagi. Je m'excuse, je ne voulais pas vous indisposer. Je suis simplement un peu mal à l'aise."

"Non... oh non, non." Répond Étienne. "Surtout pas. Ne soit pas gênée, tu es tellement belle! Tu est si gentille et généreuse de nous laisser regarder l'intimité de ton corps comme ça S'il te plait, sois à l'aise ma belle."

Aurélie se calme de nouveau, elle prend une longue respiration, essuie ses yeux et rit nerveusement. "Ça va, je vais y arriver."

Étienne lui retourne son sourire et pose gentiment les mains sur ses bras et les caresse affectueusement pour la rassurer. "Bien. Reprenons doucement alors. Est-ce que tu me permets de te toucher la chatte?"

Balaise le gars. C'est évident que ce n'est pas la première future actrice en crise qu'il rencontre.

Aurélie hésite quelques secondes mais finit par hocher timidement de la tête, toujours armée de son sourire discret. Étienne la remercie du regard et porte la main droite à la vulve d'Aurélie. Au premier contact, elle sursaute légèrement et rit un peu nerveusement. Il lui caresse d'abord la touffe, tendrement au début mais un peu plus vigoureusement par la suite. Je me demande ce qu'il cherche à faire. On parle quand même d'une entrevue et pas d'un tournage mais qui suis-je pour savoir comme on interview une candidate pour un porno? Je me rassois et j'apprécie le spectacle.

Quand il voit qu'elle semble s'habituer au contact de sa main, Étienne s'approche et porte sa bouche aux lèvres d'Aurélie. Elle est visiblement surprise mais ne le repousse pas. Je qualifierais par contre ce premier baiser d'hésitant, un peu artificiel. Que cela ne tienne, il persiste et l'embrasse encore et encore. Chaque fois, la bouche d'Aurélie s'ouvre un peu plus et elle l'accueille un peu plus chaleureusement. La main d'Étienne ne se contente plus de caresser le poil de la chatte de ma copine, il s'amuse maintenant à stimuler son clitoris à l'aide de son index et son pouce. Aurélie soupire doucement et se laisse faire. Je suis d'ailleurs surpris de voir que c'est elle même qui prend finalement l'initiative de sortir la langue et de lui donner un baiser vraiment long et profond. J'avoue que là, je ressens un brin de jalousie.

C'est donc ce moment qu'Étienne choisit pour enfoncer deux doigts profondément dans son doux vagin. Malgré le baiser langoureux qui l'occupe, Aurélie ouvre un peu plus la bouche et laisse échapper une timide lamentation de plaisir pendant qu'Étienne explore l'intérieur de son sexe. Matteo observe la scène en silence, il est clairement intéressé mais il ne semble pas aussi excité que j'aurais pu l'imaginer. J'imagine que ce n'est pas la première fois qu'il voit son patron masturber une jolie fille. Moi par contre, je suis déchaîné. Mon coté voyeur est encore plus intense que je l'imaginais, voir mon amoureuse se faire toucher ainsi me donne très chaud.

Les lamentations d'Aurélie se multiplient. Clairement, ce mec sait comment toucher une femme. Quand il voit qu'elle devient un peu trop chaude, il retire sa main et arrête complètement. Aurélie revient subitement à elle, déçue. Elle me regarde mais ne dit rien.

"Tu vois, c'est facile quand on se laisse aller. Maintenant on reprend l'entrevue. Couches toi sur le futon à coté du siège qu'occupe ton mec, on reprend la discussion."

Aurélie s'exécute lentement. Elle commence à remonter son pantalon quand Étienne l'arrête. "Non, non. Tu l'enlèves complètement. La chatte à l'air. Être nue, c'est une habitude que tu dois prendre." Aurélie sourit et retire son pantalon, le seul morceau de vêtement qui couvre toujours son corps est sa veste. "Couches toi sur le coté et écarte tes jambes, je veux une vue complète sur ta belle chatte pendant qu'on continue."

Ma jolie copine passe à coté de moi et arrête juste une seconde pour me donner un baiser en passant sa main furtivement sur mon entrejambe. En sentant à quel point je suis dur, elle me sourit tendrement et approche sa bouche de mon oreille. "Je t'aime, j'ai tellement le gout que tu me baises, mon amour." Me dit-elle en donnant un petit coup de langue discret dans le lobe de mon oreille. Le toucher de sa main et de sa langue m'envoie de l'électricité dans tout le corps, je dois me concentrer pour ne pas me ruer sur elle et la pénétrer sur le champ. Enfin, elle se couche comme on lui a demandé et s'installe confortablement le dos contre un gros coussin pour être mi-assise. De cette façon, elle peut encore bien regarder son interlocuteur. Aurélie écarte largement ses jambes et nous offre le spectacle demandé, une vue exemplaire de sa vulve excitante.

"Dis-moi, la belle." Débute Étienne. "Avant de décider que tu voulais offrir ton corps aux caméras, qu'est ce que tu fais dans la vie?"

"Je suis technicienne dans un laboratoire. Je fais un métier que ne me déplait pas mais qui ne me passionne pas beaucoup. Je ne compte pas arrêter; la porno c'est un désir personnel, pas un besoin d'argent."

"Ah bon?" S'interroge Étienne. "Qu'est-ce qui te motive à essayer dans la porno?"

Le visage d'Aurélie s'assombrit un moment. "J'ai vécu une expérience sur un plateau de tournage porno et je pense que ça a changé ma vie. Depuis ce moment, je sens que j'ai perdu le contrôle sur quelque chose et je veux le retrouver."

"Raconte?"

"Eh bien ça s'est passé il y a environ un an. Une amie m'avait dit qu'elle connaissait quelqu'un qui connaissait quelqu'un d'autre... enfin, l'histoire foireuse classique. En gros, on cherchait une jolie brunette pour 'assister un acteur' sur un plateau. Pas de caméra, pas de baise, juste du hors-scène inoffensif pour une jolie petite somme."

C'est rare pour Aurélie, d'un habituel taciturne de jaser autant et si librement. Le jeu de main d'Étienne l'a vraiment relaxée.

"Le studio était paumé et essayait d'engager un acteur connu pour se donner de la pub et de la visibilité mais ils n'avaient pas les moyens de le payer. Le mec a apprécié leur initiative et a voulu leur donner un coup de main et a jeté à la blague que s'ils lui amenaient une jolie petite brunette bien douce et bien soumise, il ferait la scène pour un salaire dérisoire. Le truc c'est qu'eux l'ont pris au sérieux et c'est là que j'interviens. Je crois que l'acteur ne s'est même pas aperçu que j'étais dans la pièce quand on m'a dit de m'asseoir et d'attendre. Au signal, je devais me lever et aller m'étendre sur le lit et me faire belle pour son plaisir. On me disait que l'acteur allait me regarder, peut-être me toucher et au pire, me manger la chatte si je lui plaisais vraiment. Lui, il devait seulement se masturber et me venir dessus ou quelque chose du genre. Du point de vue d'une fille pas du tout habituée à ce genre de choses, c'est dégoutant, mais je voulais faire bonne figure alors j'ai mis le paquet et je me suis trémoussée comme si ma vie en dépendait."

Je revois la scène en tête, l'angoisse de l'avoir vue se coucher sur le lit de vivre ce qui devait suivre. D'ailleurs, le petit roulement de hanches qu'elle faisait à ce moment, elle le fait encore pendant qu'elle nous raconte l'histoire. C'est inconscient je sais, rien de plus qu'un tic nerveux mais ça fait onduler sa chatte d'une façon qui rend dingue. On dirait une belle fleur au vent qui ne demande qu'à être cueillie.

"Et j'assume que ça ne c'est pas aussi bien passé?" Questionne Étienne.

"Non, pas du tout comme ça. L'acteur était très, très fâché parce qu'on venait de lui annoncer qu'il ne serait pas payé vu la "compensation" qui l'attendait. En plus, sa partenaire de scène était nulle et il ne la trouvait pas belle du tout. Selon lui, non seulement il avait quasiment fait du bénévolat, il s'était enmerdé avec une fille désagréable. Les mecs du studio lui ont alors dit qu'il pouvait passer sa colère sur moi, j'étais là pour ça, j'étais son "salaire". C'est là qu'il a compris que sa blague avait été prise au sérieux. Je pense qu'il était aussi surpris que moi. Initialement, je devais être là pour qu'il s'amuse un peu mais il a plutôt assumé que je faisais partie de l'équipe des gens qui ne voulaient pas le payer et qui l'avait fait tourner avec cette fille nulle. Une coupable parmi les coupables, sauf que moi j'étais couchée devant lui, la chatte offerte, la victime facile."

"Oh m e r d e . C'est vraiment pas cool ça. Il t'a frappée?" Demanda Matteo.

Aurélie eut momentanément l'air choquée. "Frappée? Non, heureusement pas! Par contre, il était frustré et puisque je n'ai rien dit pour lui expliquer que je n'étais pas avec eux, il s'est donné à coeur joie et m'a vraiment sauvagement démoli la chatte pendant un gros dix minutes avant de jouir et de me laisser sur le lit pour s'en aller."

"Comment as tu réagi?" Étienne semblait véritablement fasciné par son histoire.

"Au début, j'étais horrifiée, je n'étais même pas certaine d'avoir compris ce qui venait de se passer. C'était tellement brutal, il m'a prise vraiment subitement. Puis, à mesure que les minutes se mirent à passer, je me suis mise à revoir la scène dans ma tête et je pense que j'en ai retiré un certain plaisir. La seule chose qui me blesse c'est que je n'ai eu aucun contrôle sur ce qui s'est passé. C'était à la fois génial de se sentir aussi v i o l emment désirée par un étranger mais j'aurais aimé choisir un peu mieux les termes du jeu." Aurélie me regarda et m'offrit un autre de ses sourires amoureux. Elle pointa un doigt dans ma direction. "Il était là, à réparer un ordinateur, c'est la première fois qu'il me voyait, et pour voir, il a vraiment tout vu, mon pauvre chéri. Même si au premier regard, il était déjà follement amoureux de moi, il m'a regardé en train de me faire dominer par un autre homme mais ça ne l'a pas arrêté, il est venu me parler et c'est comme ça que ça à commencé entre nous."

"C'est... pas ordinaire comme début." Blagua Matteo, le sourire aux lèvres. Étienne demeurait silencieux, les yeux ardemment rivés sur la chatte d'Aurélie.

"Je sais. Et étrangement, c'est à travers notre relation florissante que j'ai compris que c'est une des choses qui m'excitait le plus, le fait de me sentir désirée par un observateur, un voyeur. Je veux revivre cette expérience. Je veux voir mon copain perdre ses moyens en voyant un autre pénis que le sien dans ma chatte et je veux me plaire à imaginer des voyeurs de partout en train de me désirer, d'avoir tellement le gout de me baiser eux aussi."

Quelle salope. Je l'adore. C'est clairement la femme de ma vie.

Étienne se lève et se dirige vers Aurélie. Elle ne semble plus du tout gênée d'être à demi nue devant lui, elle sourit simplement.

"Je pense que tu vas aimer le fétichisme, ma belle."

Comprenant que son entrevue est finalement réussie, Aurélie se met à briller d'un sourire éclatant! Elle me regarde et semble folle de joie! Je suis vraiment content pour elle. J'ai de la difficulté à y croire. Ma belle petite copine douce et délicate qui va se faire foutre à poil et baiser devant une caméra. Je sens que je vais bien m'amuser!

Étienne continue de s'approcher d'Aurélie. Il glisse sa main dans son pantalon et en sort son pénis bien en érection.

Alors celle-là, je peux dire que je l'ai vue arriver, mais en juger le regard complètement abasourdi d'Aurélie, pas elle.

"Mais je pense que le fétichisme va t'aimer encore plus." Ajoute Étienne avant de se placer devant elle en lui prenant les cuisses pour bien écarter ses jambes.

"Mais...Qu'est-ce que vous faites?" Demande Aurélie, trop surprise pour réagir autrement.

Je retiens mon souffle, j'ai à peine le temps de la regarder de nouveau, d'observer ses jolies lèvres vaginales encore un peu luisantes, à peine quelques minutes après avoir été si torridement caressées.

"Attendez! Aaahh!" C'est au son de cette dernière lamentation d'Aurélie qu'Étienne insère son pénis au plus profond de sa douce chatte.

Aurélie ne le repousse pas. Étienne se met donc à la baiser vigoureusement. Rien à voir avec le géant qui l'avait brutalisée sur l'autre plateau mais quand même, plutôt inattendu. Il m'était cruellement évident que ce mec voulait se faire ma copine depuis le moment qu'il lui avait tripoté les têtons. Ses jolis seins suivent le mouvement de va et vient, à peine restreint par la veste de velours qui les cache encore de notre regard.

"Allez ma jolie. Tu viens de me dire que tu fantasme sur ça, de regarder ton homme baver d'envie pendant que tu te fais baiser par un autre. T'as qu'a dire que c'est pas ce que tu veux et j'arrête, mais je pense que tu vas vouloir que ça continue."

Aurélie hoche de la tête. "Oh oui, oh oui, je veux que ça continue, s'il te plaît, je veux que ça continuuuuue!"

Je vais exploser.

Matteo est assis dans son coin et observe avec intérêt mais reste tout de même passif. Pour le moment, Étienne n'est pas spécialement original dans sa technique; pas de changement de position, Aurélie est toujours mi-assise, un peu de coté, une jambe dans les airs tenue par son nouveau patron. Il a d'ailleurs ralenti la cadence et s'en tient à un rythme soutenu mais raisonnable. Que cela ne tienne, Aurélie est tellement excitée par tout ce qui s'est passé depuis notre arrivée que c'est comme si une soupape s'était enfin dégagée, la vapeur sort et la belle éprouve de plus en plus de plaisir.

J'observe attentivement le mouvement que fait le pénis d'Étienne dans la vulve de ma copine, c'est presque envoutant de voir ce cylindre rose s'activer encore et toujours, allant à la limite ou son gland sort presque du vagin d'Aurélie, jusqu'au point ou le bas de son abdomen va écraser sa jolie touffe. C'est quelque chose que j'ai moi même fait d'innombrables fois mais le voir de cet angle est simplement euphorique.

Étienne continue quelques minutes, pas trop longtemps avant s'extraire du vagin de la belle. "Allez mon vieux," lance-t'il à Matteo, "elle est vraiment chaude, on sera pas trop de deux."

Deux gars sur ma femme. Pourquoi pas.

Aurélie regarde, silencieuse. Elle est un peu haletante, le visage rougi par l'excitation et l'effort. Ses jambes sont toujours bien écartées, sa chatte bien en vue à mesure qu'elle observe Matteo retirer son pantalon et présenter un organe proportionnel au reste de son corps. Ce dernier s'approche et tout comme Étienne avant lui, s'insère dans le vagin de ma jolie copine.

Aurélie pousse un autre long gémissement mais celui-ci ne dure pas puisqu'Étienne s'est placé à coté de sa tête et lui présente son pénis, toujours aussi rigide. La belle se tait, elle hésite, incertaine de savoir comment s'y prendre. Elle sort d'abord sa petite langue et s'en sert pour doucement caresser le gland qui lui est présenté. C'est superficiel et discret comme geste mais je peux voir qu'Étienne apprécie beaucoup. Il semble lutter contre l'envie de la prendre à deux mains et de lui enfoncer son membre jusque dans la gorge.

De mon coté, je ne tiens plus en place. D'emblée, Aurélie m'est incroyablement belle, mais de la voir ainsi, sa jolie bouche à la découverte de ce plaisir, c'est trop pour moi. C'est vulgaire, c'est révoltant, c'est absolument merveilleux. Elle s'approche du pénis d'Étienne et lui donne quelques petits bisous gênés sur le gland, sa petite langue revenant de temps à autre pour une petite lichette aguichante. Elle semble avoir de la difficulté à coordonner ses mouvements, tout son corps entrainé par le mouvement de va et vient causé par Matteo qui explore profondément sa chatte.

Aurélie se résoud donc à simplement ouvrir sa bouche et laisser le pénis d'Étienne s'y engouffrer longuement. L'homme pousse un long soupir de satisfaction et place ses mains derrière la tête de la belle pour diriger la fellation profonde qu'elle lui offre. Du coté de la pénétration vaginale, Matteo y met largement plus de vigueur qu'Étienne mais c'est clair qu'il ne fait aucun mal à ma copine, elle se laisse complètement faire, elle est relax et elle déguste le moment. Je regarde la scène avec une excitation qui me fait presque mal.

Le mouvement de pénétration répété fini par libérer un de ses seins qui sort de la veste et continue sa petite danse sans se cacher. Comme s'il se rappelait soudainement de leur existence, Étienne en profite pour tendre une main et tripoter vigoureusement la poitrine d'Aurélie, parfois le sein nu, parfois l'autre resté caché sous le velours. Quand l'envie lui en prend, il ne se gêne surtout pas pour lui tordre et lui pincer ses jolis mamelons. Un autre long cinq minutes s'étire, malgré le pénis qui remplit sa bouche, Aurélie gémit de plus en plus fort et de plus en plus souvent

Il n'y a même pas de caméra et je me sens incapable de me contrôler. Ce sera quoi quand une dizaine de personnes vont assister à la scène et qu'une caméra va être en train de la filmer dans le seul but de la montrer à qui veut bien la voir? Je ne sais pas. J'ai très hâte d'y être.

Étienne se retire de la bouche d'Aurélie et fait signe à Matteo d'arrêter ce qu'il fait. Le jeune homme s'exécute sans rechigner. Aurélie semble piteuse, sa petite voix timide tente une protestation. "Déjà? Mais j'ai encore le gout moi!"

Étienne sourit. "Oh, ma belle, ne t'en fais pas, on fait juste bouger un peu." Dit-il en se plaçant lentement derrière elle. Il la pousse un peu vers l'avant pour dégager son dos et lui caresse ses fesses nues en lui susurrant à l'oreille. "Tu aimes ça dans le cul, ma belle petite Aurélie?"

Aurélie prend deux bonnes secondes pour répondre mais finit par doucement hocher de la tête. Nous le faisons à l'occasion mais elle préfère toujours la chatte. Je pense que l'excitation actuelle compense, sans compter le fait qu'avec deux pénis à sa disposition, il y a peu de chances pour que sa chatte reste seule longtemps.

"Je veux te l'entendre dire. Dis le moi, ma belle."

Aurélie rougit abondamment mais finit par avancer, d'une voix encore plus soumise que tantôt: "J'aime bien l'avoir dans le cul. S'il te plait Étienne, tu veux bien mettre ta bitte dans mon joli petit cul?"

"Oooh que tu es parfaite, ma jolie." Répond Étienne avant de l'embrasser longuement tout en insérant son pénis dans son anus. Un peu brusque, je dirais à en juger le son de mi plaisir, mi protestation qu'Aurélie laisse échapper au travers le baiser qu'ils échangent.

Matteo vient se placer où Étienne était il y a à peine quelques secondes. Il saisit la tête d'Aurélie, l'arrache des lèvres d'Étienne et enfonce son long pénis tout au fond de la bouche de la belle. Contrairement à Étienne, cet homme préfère diriger entièrement la fellation. Pas de petits bisous et coups de langue. Je trouve d'ailleurs qu'il envoie son membre dangereusement loin, Aurélie peine à tirer son épingle du jeu tant la pénétration anale et le pénis au fond de sa gorge l'accablent.

Elle gémit et tousse un peu, ses yeux larmoient, elle est dépassée. Ma jolie petite Aurélie, prise si durement, c'est le comble pour le voyeur en moi. Étienne lui écarte les jambes et me donne une vue parfaite sur sa belle et douce chatte délaissée. Il me regarde, "Alors quoi? Tu dors? Faut la faire jouir cette petite, c'est TA copine, travailles un peu mon vieux!"

À ces mots, Aurélie regarde dans ma direction, je suis absolument certain qu'elle n'attend que ça.

Mon corps bouge avant même que j'aie pu penser à le faire. Je laisse tomber mon pantalon et je laisse mon désir me guider. Mon pénis glisse doucement sur la chatte d'Aurélie jusqu'a ce qu'il atteigne son vagin qui le laisse tendrement entrer; je pénètre Aurélie profondément. Sa vulve est chaude et mouillée, la sensation est différente de l'habitude mais non moins excitante. L'autre chose que je constate c'est à quel point c'est inhabituel de baiser une fille qui est déjà en train de se faire prendre dans le cul. Je peux tenter de faire à ma tête et diriger mes mouvements contre ceux de l'autre partenaire mais, le mieux est de trouver la coopération. Il me faut quelques secondes pour m'adapter au rythme qu'impose Étienne mais rapidement, nous sommes en cadence, nos mouvements se complémentent, notre f o r c e en harmonie, c'est littéralement deux fois plus facile qu'a l'habitude.

Je laisse mon regard s'attarder sur Aurélie dans son ensemble. Sa chatte poilue qui se laisse doucement prendre, ses jolis seins qui suivent le mouvement, un sorti de sa veste, l'autre encore caché. Sa jolie petite bouche autour du membre de Matteo et son visage rougi par l'épreuve. Elle gémit, elle ouvre grand sa bouche pour laisser sortir de longs et délicieux cris de jouissance.

"Tu vois? Il ne manquait que toi. Fais la jouir maintenant, ta belle amoureuse." Étienne accélère la cadence, je m'applique à suivre. Aurélie gémit, elle gémit n'en tarit pas. Je sens que je ne pourrai pas me retenir très longtemps. Aurélie cesse soudainement ses gémissements et prend une profonde inspiration avant de pousser un cri à plein poumons, je ne l'ai jamais entendu jouir si fort.

Matteo n'en peut plus non plus et se met à grogner. Je m'attends à ce qu'il sorte de sa bouche et lui couvre le visage de sperme mais c'est plutôt le contraire qui arrive: au grand dam d'Aurélie qui n'en peut presque plus, il réassure sa prise, pousse le plus loin possible et vide tout son chargement au fond de sa jolie bouche. Les yeux d'Aurélie s'écarquillent; je ne suis jamais venu dans sa bouche, ça doit être toute une surprise pour elle. Elle pousse de petits gémissements de protestation avant d'être f o r c é e à avaler. Matteo extirpe ensuite son membre en laissant les deux dernières petites goutes blanches rouler sur les lèvres d'Aurélie.

Étienne respire de plus en plus fort. Il reprend solidement appui et retire son pénis d'entre les fesses d'Aurélie et se replace rapidement devant elle en masturbant furieusement son membre. Profitant du fait qu'elle est encore un peu confuse, il attr a p e Aurélie par les cheveux la tourne vers lui avant d'arriver à l'orgasme. Son éjaculation est brutale et massive, les premiers jets chauds à trouver l'adorable visage de ma copine la font sursauter et pousser de petits cris excitants. Au bout de quelques secondes, son joli minois est complètement souillé de sperme chaux et collant.

Aurélie me regarde, au bout de ses peines, se demandant quelle douce t o r t u r e je lui réserve. Rien de bien original, je vénère sa chatte et c'est là que j'aime éjaculer. La voir ainsi à bout de souffle, aussi glorieusement profanée, c'est trop pour moi. Mon orgasme incontrôlable est long et puissant, je sens que je vais m'évanouir. Je ne sais finalement pas ce qui me prend mais peut-être par désir de ne pas passer pour un amateur, aussitôt l'immense contraction terminée, je sors ma verge du vagin d'Aurélie et je la frotte vigoureusement sur sa touffe à mesure que j'expulse mon sperme. Les premières gouttes jaillissent avec f o r c e et vont s'échouer sur son sein et sur sa douce veste de velours. Le reste coule paresseusement sur les poils de sa chatte.

C'est terminé. Tout le monde reprend lentement ses esprits, Aurélie un peu plus lentement que nous trois.

Étienne nous regarde en souriant. "Félicitations Aurélie, bienvenue dans mon studio."

VelvetGentleman

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